Françoise Hardy
Françoise Hardy
(No es francesa pero casi ... ;o). La versión francesa sería "Tous les visages de l'amour pero no la he encontrado)
She
May be the face I can't forget
A trace of pleasure or regret
May be my treasure or the price I have to pay
She may be the song that summer sings
May be the chill that autumn brings
May be a hundred tearful things
Within the measure of the day.
She
May be the beauty or the beast
May be the famine or the feast
May turn each day into heaven or a hell
She may be the mirror of my dreams
A smile reflected in a stream
She may not be what she may seem
Inside a shell
She who always seems so happy in a crowd
Whose eyes can be so private and so proud
No one's allowed to see them when they cry
She may be the love that can and hope to last
May come to me from shadows of the past
That I remember till the day I die
She
May be the reason I survive
The why and where for I'm alive
The one I'll care for through the rough and rainy years
Me I'll take her laughter and her tears
And make them all my souvenirs
For where she goes I got to be
The meaning of my life is
She, she, she
AZNAVOUR
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main
Un cadeau de la providence
Alors pourquoi penser au lendemain
Ils se sont cachés dans un grand champ de blé
Se laissant porter par les courants
Se sont racontés leur vies qui commençaient
Ils n'étaient encore que des enfants, des enfants
Qui s'étaient trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Qui cueillirent le ciel au creux de leurs mains
Comme on cueille la providence
Refusant de penser au lendemain
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont quittés au bord du matin
Sur l'autoroute des vacances
C'était fini le jour de chance
Ils reprirent alors chacun leur chemin
Saluèrent la providence en se faisant un signe de la main
Il rentra chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle est descendue là-bas dans le midi
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
MICHEL FUGAIN
Je suis une poupée de cire
Une poupée de son
Mon cœur est gravé dans mes chansons
Poupée de cire poupée de son
Suis-je meilleure suis-je pire
Qu'une poupée de salon
Je vois la vie en rose bonbon
Poupée de cire poupée de son
Mes disques sont un miroir
Dans lequel chacun peut me voir
Je suis partout à la fois
Brisée en mille éclats de voix
Autour de moi j'entends rire
Les poupées de chiffon
Celles qui dansent sur mes chansons
Poupée de cire poupée de son
Elles se laissent séduire
Pour un oui pour un nom
L'amour n'est pas que dans les chansons
Poupée de cire poupée de son
Mes disques ont un miroir
Dans lequel chacun peut me voir
Je suis partout à la fois
Brisée en mille éclats de voix
Seule parfois je soupire
Je me dis à quoi bon
Chanter ainsi l'amour sans raison
Sans rien connaître des garçons
Je n'suis qu'une poupée de cire
Qu'une poupée de son
Sous le soleil de mes cheveux blonds
Poupée de cire poupée de son
Mais un jour je vivrai mes chansons
Poupée de cire poupée de son
Sans craindre la chaleur des garçons
Poupée de cire poupée de son.
FRANCE GALL
Avec ma gueule de métèque
De Juif errant, de pâtre grec
Et mes cheveux aux quatre vents
Avec mes yeux tout délavés
Qui me donnent l'air de rêver
Moi qui ne rêve plus souvent
Avec mes mains de maraudeur
De musicien et de rôdeur
Qui ont pillé tant de jardins
Avec ma bouche qui a bu
Qui a embrassé et mordu
Sans jamais assouvir sa faim
Avec ma gueule de métèque
De Juif errant, de pâtre grec
De voleur et de vagabond
Avec ma peau qui s'est frottée
Au soleil de tous les étés
Et tout ce qui portait jupon
Avec mon cœur qui a su faire
Souffrir autant qu'il a souffert
Sans pour cela faire d'histoires
Avec mon âme qui n'a plus
La moindre chance de salut
Pour éviter le purgatoire
Avec ma gueule de métèque
De Juif errant, de pâtre grec
Et mes cheveux aux quatre vents
Je viendrai, ma douce captive
Mon âme sœur, ma source vive
Je viendrai boire tes vingt ans
Et je serai prince de sang
Rêveur ou bien adolescent
Comme il te plaira de choisir
Et nous ferons de chaque jour
Toute une éternité d'amour
Que nous vivrons à en mourir
Et nous ferons de chaque jour
Toute une éternité d'amour
Que nous vivrons à en mourir
MOUSTAKI
Elle était si jolie
Que je n'osais l'aimer
Elle était si jolie
Je ne peux l'oublier
Elle était trop jolie
Quand le vent l'emmenait
Elle fuyait ravie
Et le vent me disait...
Elle est bien trop jolie
Et toi je te connais
L'aimer toute une vie
Tu ne pourras jamais
Oui mais elle est partie
C'est bête mais c'est vrai
Elle était si jolie
Je ne l'oublierai jamais
Aujourd'hui c'est l'automne
Et je pleure souvent
Aujourd'hui c'est l'automne
Qu'il est loin le printemps
Dans le parc où frissonnent
Les feuilles au vent mauvais
Sa robe tourbillonne
Puis elle disparaît...
Elle était si jolie
Que je n'osais l'aimer
Elle était si jolie
Je ne peux l'oublier
Elle était trop jolie
Quand le vent l'emmenait
Elle était si jolie
Je n'oublierai jamais
ALAIN BARRIÈRE
Notre histoire a commencé
Par quelques mots d'amour
C'est fou ce qu'on s'aimait
Et c'est vrai tu m'as donné
Les plus beaux de mes jours
Et je te les rendais
Je t'ai confié sans pudeur
Les secrets de mon cœur
De chanson en chanson
Et mes rêves et mes je t'aime
Le meilleur de moi-même
Jusqu'au moindre frisson
C'est ma vie, c'est ma vie
Je n'y peux rien
C'est elle qui m'a choisi
C'est ma vie
C'est pas l'enfer,
Mais c'est pas l'paradis
Ma candeur et mes vingt ans
Avaient su t'émouvoir
Je te couvrais de fleurs
Mais quant à mon firmament
J'ai vu des nuages noirs
J'ai senti ta froideur
Mes rires et mes larmes
La pluie et le soleil
C'est toi qui les régis
Je suis sous ton charme
Souvent tu m'émerveilles
Parfois tu m'oublies
C'est ma vie, c'est ma vie
Je n'y peux rien
C'est elle qui t'a choisi
C'est ma vie
C'est pas l'enfer,
Mais c'est pas l'paradis
J'ai choisi des chaînes
Mes amours, mes amis
Savent que tu me tiens
Et devant toi, sur scène
Je trouve ma patrie
Dans tes bras, je suis bien
Le droit d'être triste
Quand parfois j'ai l'cœur gros
Je te l'ai sacrifié
Mais devant toi j'existe
Je gagne le gros lot
Je me sens sublimé
C'est ma vie, c'est ma vie
Je n'y peux rien
C'est elle qui m'a choisi
C'est ma vie
C'est pas l'enfer,
Mais c'est pas l'paradis
C'est ma vie, c'est ma vie
Je n'y peux rien
C'est elle qui m'a choisi
C'est ma vie
C'est pas l'enfer
SALVATORE ADAMO
Une vie d'amour
Que l'on s'était jurée
Et que le temps a désarticulée
Jour après jour
Blesse mes pensées
Tant des mots d'amour
En nos cœurs étouffés
Dans un sanglot l'espace d'un baiser
Sont restés sourds
À tout, mais n'ont rien changé
Car un au revoir
Ne peut être un adieu
Et fou d'espoir
Je m'en remets à Dieu
Pour te revoir
Et te parler encore
Et te jurer encore
Une vie d'amour
Remplie de rires clairs
Un seul chemin
Déchirant nos enfers
Allant plus loin
Que la nuit
La nuit des nuits
Une vie d'amour
Que l'on s'était jurée
Et que le temps a désarticulée
Jour après jour
Blesse mes pensées
Tant des mots d'amour
Que nos cœurs ont criés
De mots tremblés, de larmes soulignées
Dernier recours
De joies désaharmonisées
Des aubes en fleurs
Aux crépuscules gris
Tout va, tout meurt
Mais la flamme survit
Dans la chaleur
D'un immortel été
D'un éternel été
Une vie d'amour
Une vie pour s'aimer
Aveuglément
Jusqu'au souffle dernier
Bon an mal an
Mon amour
T'aimer encore
Et toujours
CHARLES AZNAVOUR ET MIREILLE MATHIEU
J'avais dessiné sur le sable
Un doux visage qui me souriait
Puis il a plu sur cette plage
Dans cet orage elle a disparu
Et j'ai crié, crié Aline
Pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré
J'avais tant de peine
Je me suis assis auprès de son âme
Mais la belle dame s'était enfuie
Je l'ai cherchée sans plus y croire
Sans un espoir pour me guider
Et j'ai crié, crié Aline
Pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré
J'avais tant de peine
Je n'ai gardé que ce doux visage
Comme une épave sur le sable mouillé
Et j'ai crié, crié Aline
Pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré
J'avais tant de peine
Et j'ai crié, crié Aline
Pour qu'elle revienne
Et j'ai pleuré, pleuré
J'avais tant de peine
CHRISTOPHE
Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pourquoi j'existerais.
Pour traîner dans un monde sans toi,
Sans espoir et sans regrets.
Et si tu n'existais pas,
J'essaierais d'inventer l'amour,
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour.
Et qui n'en revient pas.
Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pour qui j'existerais.
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n'aimerais jamais.
Et si tu n'existais pas,
Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va,
Je me sentirais perdu,
J'aurais besoin de toi.
Et si tu n'existais pas,
Dis-moi comment j'existerais.
Je pourrais faire semblant d'être moi,
Mais je ne serais pas vrai.
Et si tu n'existais pas,
Je crois que je l'aurais trouvé,
Le secret de la vie, le pourquoi,
Simplement pour te créer
Et pour te regarder.
JOE DASSIN
Puisque vous partez en voyage
Puisque nous nous quittons ce soir
Mon coeur fait son apprentissage
Je veux sourire avec courage
Voyez, j'ai posé vos bagages
Marche avant, côté du couloir
Et pour les grands signaux d'usage
J'ai préparé mon grand mouchoir
Dans un instant le train démarre
Je resterai seule sur le quai
Et je vous verrai de la gare
Me dire adieu là-bas avec votre bouquet
Promettez-moi d'être bien sage
De penser à moi tous les jours
Et revenez dans notre cage
Je guette votre retour
Puisque vous partez en voyage
Puisque nous nous quittons ce soir
Mon coeur fait son apprentissage
Je veux sourire avec courage
Voyez, j'ai posé vos bagages
Marche avant, côté du couloir
Et pour les grands signaux d'usage
J'ai préparé mon grand mouchoir
Le contrôleur crie «En voiture!»
- Le cochon! - il sait pourtant bien
Que moi je reste, mais je jure
Que s'il le crie encore une fois, moi je viens
J'ai mon amour pour seul bagage
Et tout le reste je m'en fous
Puisque vous partez en voyage
Mon chéri, je pars avec vous
FRANÇOISE HARDY et JACQUES DUTRONC
Tous les garçons et les filles de mon âge
Se promènent dans la rue deux par deux
Tous les garçons et les filles de mon âge
Savent bien ce que c'est qu'être heureux
Et les yeux dans les yeux
Et la main dans la main
Ils s'en vont amoureux
Sans peur du lendemain
Oui mais moi, je vais seule
Par les rues, l'âme en peine
Oui mais moi, je vais seule
Car personne ne m'aime.
Mes jours comme mes nuits
Sont en tous points pareils
Sans joie et pleins d'ennui
Personne ne murmure «je t'aime» à mon oreille
Tous les garçons et les filles de mon âge
Font ensemble des projets d'avenir
Tous les garçons et les filles de mon âge
Savent très bien ce qu'aimer veut dire
Et les yeux dans les yeux
Et la main dans la main
Ils s'en vont amoureux
Sans peur du lendemain
Oui mais moi, je vais seule
Par les rues, l'âme en peine
Oui mais moi, je vais seule
Car personne ne m'aime.
Mes jours comme mes nuits
Sont en tous points pareils
Sans joie et pleins d'ennui
Oh! quand donc pour moi brillera le soleil?
Comme les garçons et les filles de mon âge
Connaîtrai-je bientôt ce qu'est l'amour?
Comme les garçons et les filles de mon âge
Je me demande quand viendra le jour
Où les yeux dans ses yeux
Et la main dans sa main
J'aurai le coeur heureux
Sans peur du lendemain
Le jour où je n'aurai
Plus du tout l'âme en peine
Le jour où moi aussi
J'aurai quelqu'un qui m'aime
FRANÇOISE HARDY
J'te mentirais Si j'te disais qu' j'y ai pas pensé
Si j'te disais qu' j'ai pas voulu Retenir le nom de sa rue
Si j'te disais,
Mon amour, que j'ai rien senti,
Rien entendu de ces non-dits
Qu'à ses silences, j'ai pas souri
J'te mentirais J'te mentirais
Vite, je tombe Est-ce que tu m' regarderas ?
Est-ce que tu seras en bas Pour m'emmener là où je n' sais pas
Là où je n' vais pas ?
Alors, vite, je tombe Comme un pantin sans fil
Trop libre et trop fragile
Je cherche ta main dans les nuages Pour chasser son image
J'te mentirais Si j'te disais au fond des yeux
Que tes larmes ont tort de couler Que cette fille ne fait que passer
J'te mentirais Et pourtant moi, j' me suis menti
De nous croire tellement à l'abri
De nous voir plus fort que la vie
Mais ces choses-là On ne les sait pas
Vite, je tombe Est-ce que tu seras en bas ?
Est-ce que tu m'attendras Pour m'emmener là où je n' sais pas,
Pour me ramener vers toi ?
Alors, vite, je tombe comme un pantin sans fil
Notre histoire qui défile
Je cherche ta main dans les nuages Pour pas tourner la page
J'te mentirais Mais à qui d'autre pourrais-je le dire
Sans cette fois vraiment te trahir ? Le silence est parfois pire
Vite, je tombe Est-ce que tu seras en bas ?
Est-ce que tu m'ramasseras Pour m'emmener là où je n' sais pas,
Pour me rammener vers toi ?
Alors, vite, je tombe Comme un oiseau voleur
Touché là, en plein cœur Et qui se demande encore pourquoi
Il est passé par là.
PATRICK BRUEL
Tu sais, je n'ai jamais été aussi heureux que ce matin-là
Nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci
C'était l'automne, un automne où il faisait beau
Une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Amérique
Là-bas on l'appelle l'été indien
Mais c'était tout simplement le nôtre
Avec ta robe longue tu ressemblais
A une aquarelle de Marie Laurencin
Et je me souviens, je me souviens très bien
De ce que je t'ai dit ce matin-là
Il y a un an, y a un siècle, y a une éternité
On ira où tu voudras, quand tu voudras
Et on s'aimera encore, lorsque l'amour sera mort
Toute la vie sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l'été indien
Aujourd'hui je suis très loin de ce matin d'automne
Mais c'est comme si j'y étais. Je pense à toi.
Où es-tu? Que fais-tu? Est-ce que j'existe encore pour toi?
Je regarde cette vague qui n'atteindra jamais la dune
Tu vois, comme elle je reviens en arrière
Comme elle je me couche sur le sable
Et je me souviens, je me souviens des marées hautes
Du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer
Il y a une éternité, un siècle, il y a un an
On ira où tu voudras, quand tu voudras
Et on s'aimera encore lorsque l'amour sera mort
Toute la vie sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l'été indien
Joe Dassin
Je reviendrai à Montréal
Dans un grand Bœing bleu de mer
J'ai besoin de revoir l'hiver
Et ses aurores boréales
J'ai besoin de cette lumière
Descendue droit du Labrador
Et qui fait neiger sur l'hiver
Des roses bleues, des roses d'or
Dans le silence de l'hiver
Je veux revoir ce lac étrange
Entre le crystal et le verre
Où viennent se poser des anges
Je reviendrai à Montréal
Ecouter le vent de la mer
Se briser comme un grand cheval
Sur les remparts blancs de l'hiver
Je veux revoir le long désert
Des rues qui n'en finissent pas
Qui vont jusqu'au bout de l'hiver
Sans qu'il y ait trace de pas
J'ai besoin de sentir le froid
Mourir au fond de chaque pierre
Et rejaillir au bord des toits
Comme des glaçons de bonbons clairs
Je reviendrai à Montréal
Dans un grand Bœing bleu de mer
Je reviendrai à Montréal
Me marier avec l'hiver
Me marier avec l'hiver
Robert Charlebois
Balayé par septembre
Notre amour d'un été
Tristement se démembre
Et se meurt au passé
J'avais beau m'y attendre
Mon cœur vide de tout
Ressemble à s'y méprendre
A Paris au mois d'août
De larmes et de rires
Etait fait notre amour
Qui redoutant le pire
Vivait au jour le jour
Chaque rue, chaque pierre
Semblaient n'être qu'à nous
Nous étions seuls sur terre
A Paris au mois d'août
Pour te dire je t'aime
Aussi loin que tu sois
Une part de moi-même
Reste accrochée à toi
Et l'autre solitaire
Recherche de partout
L'aveuglante lumière
De Paris au mois d'août
Dieu fasse que mon rêve
De retrouver un peu
Du mois d'août sur tes lèvres
De Paris dans tes yeux
Prenne forme et relance
Notre amour un peu fou
Pour que tout recommence
A Paris au mois d'août
Charles Aznavour